< PreviousDulce Reina de los Cielos, tierna Madre del Palmar. Las plegarias de tus hijos, acoge oh Madre con amor.L'Église renouvelée Malgré les obstacles, dans ce désert, l’intégrité de la Sainte Foi Catholique et Apostolique reste intacte, par la miséri- corde de Dieu. El Palmar de Troya est de- venu la pierre angulaire, car il est resté fi- dèle à l'enseignement traditionnel de l'Église, Notre Mère; et parce que les groupes de pèlerins et de fidèles qui viennent assidûment dans ce Lieu Sacré ont entendu la Parole de Dieu et l'ont mise en pratique. Malheureusement, à l’époque de la décadence de l’église romaine, gui- dée par de mauvais bergers, ses enseigne- ments se sont adultérés et la Reine du Ciel et de la Terre a dû venir pour dire: Retour- nez à la prédication de la Vraie Doctrine que l’Église conserve dans son Dépôt Sa- cré! Et comment cette doctrine devait-elle être défendue? Par le Seigneur en formant un Collège Épiscopal d’Apôtres prêts à donner leur vie pour la défense de la Foi Catholique. Le 23 décembre 1975, par mandat de Notre-Seigneur Jésus-Christ, Clemente Domínguez y Gómez a fondé l'Ordre des Carmélites de la Sainte Face. Les membres de l'Ordre des Carmélites de la Sainte Face sont les Apôtres Mariaux des Derniers Temps, appelés également les Crucifères. Il s'agit du dernier et unique Ordre Reli- gieux des Dernières Temps et la véritable continuation de l'Ordre du Mont Carmel, fondé par le Prophète Saint-Élie et réformé par la suite par l'éminente Docteure Sainte Thérèse de Jésus. L'Ordre des Carmélites de la Sainte Face contient l'esprit de tous les autres Ordres Religieux fondés au cours de l'Histoire. Cet Ordre des Carmé- lites de la Sainte Face est composé de trois rameaux: le premier, les frères; le deuxième, les religieuses; et le troisième, les fidèles tertiaires. Tous les membres de l’Église Une, Sainte, Catholique, Aposto- lique et Palmarienne font partie de ce der- nier Ordre Religieux, chacun dans son propre rameau. Tout comme l’ancien Ordre des Carmélites préparait le Premier Avènement du Christ en tant que Messie, l’Ordre des Carmélites de la Sainte Face prépare le Deuxième Avènement du Christ pour juger chacun et établir le Royaume Messianique. L'Ordre des Carmélites de la Sainte Face a pour missions primordiales celles de préparer le deuxième Avènement du Christ et de lutter avec ténacité contre l'Antéchrist et ses armées infernales. Le 1 er janvier 1976, dans le Lieu Sacré du Lentisque d’El Palmar de Troya, Cle- mente Domínguez y Gómez et Manuel Alonso Corral ont été ordonnés Prêtres par l'Archevêque Saint-Pierre Martin Ngó- dinh Thuc, et le 11 janvier de cette même année, ils ont été consacrés Évêques par le même Prélat qui est venu de Rome pour mener à bien cette mission transcendante. Après sa consécration en tant qu'Évêque, le Père Clemente Domínguez a ordonné et consacré beaucoup d'autres, formant ainsi le Collège Épiscopal Palmarien. Tout cela était le motif d’une terrible persécution instaurée par la hiérarchie officielle de l’église romaine, à tel point que le Père Clemente Domínguez, le 6 avril 1976, a quitté l’Espagne pour s’exiler, avec le Père Manuel Alonso et d’autres Évêques et Frères par ordre d'un juge d'Utrera, sous la pression constante du cardinal apostat de Séville, José Bueno Monreal, féroce persé- cuteur des Apparitions d'El Palmar de Troya, malgré les nombreuses preuves dont il disposait de la véracité de ces Appa- ritions. Le 29 mai 1976, pendant un de ses infatigables voyages apostoliques, le Père Clemente Domínguez a perdu les deux yeux dans un accident de voiture, une souf- france inimaginable pour lui. Désormais aveugle, il a poursuivi son apostolat avec la même intensité comme avant, à travers l'Espagne et les autres nations européennes et américaines et il a proclamé dans ses ser- mons la Vraie Foi, la Tradition et la Sainte Morale, il a défendu avec vigueur le Pape Saint Paul VI, attaqué par les progressistes et les traditionalistes, et il a dénoncé sur- tout les hérésies et profanations répandues par les cardinaux et les évêques du Vatican et des différents diocèses. En 1976, Notre Seigneur Jésus-Christ, pendant une de ses L’Église, Une, Sainte, Catholique, Apostolique et Palmarienne.merveilleuses apparitions, a promis la Pa- pauté, la Primauté de l'Église, au Père Cle- mente, en ces termes: «Tu seras le futur Pierre: le Pape qui consolidera la Foi et l'intégrité dans l'Église, luttant contre les hérésies avec une grande force, car des lé- gions d’Anges t’assisteront… Le Grand Pape Grégoire, La Gloire des Olives… » L’Évêque Primat d’El Palmar de Troya, d’abord en tant que Père Clemente, puis avec le nom Religieux de Père Ferdinand, était la voix qui clamait dans l'Église au nom du Souverain Pontife Romain, qui ne pouvait pas agir ni parler librement. Par volonté expresse de Dieu et jusqu’à la mort du Pape Saint Paul VI, l’Évêque Père Fer- dinand a exercé la plus haute fonction de Sous-Vicaire du Christ dans l’Église. Le 1 er janvier 1977, l’Évêque Père Clemente, a couronné canoniquement l’Image Sacrée qui est aujourd’hui dans le camarín du Lentisque sous le titre de Notre Mère de Palmar Couronnée. Le Seigneur a formé le Collège Épisco- pal d'El Palmar de Troya en union avec le Pontife Romain Paul VI et conformément à la succession apostolique. Ainsi, le Sei- gneur a tenu sa promesse d'assister à Son Église jusqu'à la consommation des siècles. Au cours de tous ces siècles, Il a assisté Son Église de mille façons: le sus- mentionné est un des moyens que le Christ utilise pour assister son Église. Le Christ n'abandonne pas son Église. Le Christ reste avec Son Église. Par conséquent, lorsque tant de bergers avec mitre et crosse prêchent aujourd’hui contre la Vraie Doc- trine, lorsque tant d’évêques ne prêchent pas à propos de Marie, cela n’étonne pas que le Seigneur ait formé ce Collège d’Évêques pour prêcher ce que l’Église a toujours prêché. Combien d’ennemis du Christ il y avait à l’intérieur de l’Église, re- vêtus de Crosse et de Mitre! À quel ex- trême la malice avait-t-elle atteint dans l'Église! Les membres de ce Collège Épiscopal Palmarien, qui ont l'honneur d'être dési- gnés Évêques Mariaux, prêchaient partout sur Marie et ils ont empêché que des ensei- gnements hérétiques soient introduits dans l'Église. Ils élevaient leur voix puissante contre tant d'ennemis infiltrés à l'intérieur de l'Église et ils étaient disposés à sacrifier la vie pour la défense de la Vérité Catho- lique, pour la défense des enseignements du Christ, pour la défense des Gloires de Marie, pour la défense de la Foi dans son intégrité Catholique et Apostolique, entiè- rement soumis au Pape Saint Paul VI, le dernier Pape à Rome. Dans la Sainte Écriture, il était déjà an- noncé que le jour viendrait où la doctrine saine ne serait plus supportée et que de faux docteurs, de faux prophètes et de faux bergers se présenteraient. Les faux bergers présents dans l'Église ont nié la vérité d’El Palmar de Troya. Cependant, la validité de la consécration épiscopale d'un évêque progressiste est plus douteuse, car ni l'in- tention de l'évêque qui consacre ni celle du consacré ne sont garanties, en raison de la présence des francs-maçons infiltrés dans l'Église, car ces francs-maçons sont les en- nemis de l’Église, déguisés en bergers. Par conséquent, face à face devant Dieu, consi- dérons et demandons au Seigneur: Où sont tes bergers authentiques? Il ne tardera pas à nous répondre: Là, à El Palmar. Combien d'évêques et de prêtres à cette époque post- concile consacraient leurs sermons du di- manche à parler de politique, de sociologie et d’économie, et ont oublié de parler des Vérités Éternelles; et ont oublié de parler des Gloires de Marie, des prérogatives que Dieu a accordées à cette Dame Exaltée! Combien d’évêques croisaient les bras et permettaient à des légions de ‘prêtres’ de répandre de fausses doctrines partout! Il y avait des ‘prêtres’ à cette époque qui niaient l'existence de l'Enfer. Et nous sa- vons tous que l'existence de l'Enfer est dogmatique, étant donné que le Christ lui-Sainte, Sainte, Sainte es-tu Ô Marie! Mère de Dieu et toujours Vierge!même parle encore et encore du feu éternel dans le Saint Évangile. Combien ont nié la présence réelle du Christ dans l'Eucharistie en Corps, Sang, Âme et Divinité! Combien d'autres Dogmes ont-ils nié! Tant d'ensei- gnements contaminés! Des prêtres traditionnels de partout ont été priés de se revêtir de valeur, d'abandon- ner leur salaire et leur vie confortable pour venir à ce Lieu, la Cathèdre, la Lumière et le Flambeau de l'Église, disposés à rece- voir la Consécration Épiscopale pour la dé- fense de l'Église. Cependant, dans leurs Paroisses et Cathédrales de différentes villes, il y avait beaucoup de Prêtres ac- commodants qui savaient que le mensonge s'était immiscé dans l'Église et qui ne di- saient rien par lâcheté, sachant que quel- qu'un qui permet de faux enseignements est tout aussi coupable que celui qui les diffuse. Ils étaient des lâches et la lâcheté est encore pire que la fausseté des bergers iniques de ces jours. Un prêtre qui sait que qu’on enseigne les mensonges, qui sait qu’on corrompt la Doctrine et reste très tranquille à son poste, percevant son sa- laire, confortable et insoucieux, n'est pas digne du Royaume des Cieux. Car il faut suivre le Christ jusqu'à notre dernier souffle; et si c’est nécessaire, jusqu'à la dernière goutte de notre sang, jusqu'à la perte de tout confort, de toute amitié, si c’est nécessaire. En un mot, tout perdre, humainement parlant, pour gagner le Ciel. Combien de prêtres lâches y aura-t-il en Enfer! Car un prêtre n'a pas le droit de gar- der le silence, voyant la fausseté tout au- tour de lui comme c’était à cette époque, et permettant tant de profanations, tant d'in- décence à l'intérieur de l'église, tant d'im- puretés, sans se revêtir de valeur et accep- ter la croix! Quelques prêtres traditionalistes se sont levés, et avec le courage et l’esprit de mar- tyre, sont venus à El Palmar de Troya où ils ont reçu la consécration épiscopale, en tant que successeurs des Apôtres, unis au Chef de l’Église, alors, le Pape Paul VI; c’étaient les rares personnes qui reconnais- saient la Parole de Dieu donnée dans ce Lieu Sacré au moyen d'instruments pauvres, de pécheurs pauvres et faibles. Ils ont accepté la croix et la persécution et ils ont défendu l’intégrité de la Foi Catho- lique, Apostolique et Romaine, et ils ont défendu les prérogatives de la Vierge Ma- rie notre Mère. Ils ont abandonné leurs postes aisés et sont venus dans ce lieu d'in- compréhension, dans ce lieu de persécu- tion. L'Église, minée par de faux bergers, tra- versait une période de confusion, d'erreur, de division, d'hérésie, et d'apostasie. La Barque traversait des tempêtes comme elle n'avait jamais traversé auparavant. Seul un petit groupe conservait l’intégrité dans la Foi. El Palmar de Troya devait rétablir la Sainte Tradition de l'Église, la Sainte Doc- trine, la Foi Catholique. Les Évêques de Palmar se sont battus pour défendre l'Église et, surtout pour préserver la Foi, la Doctrine, la Tradition et l’intégrité, afin de rétablir la Sainte Messe Tridentine en Latin de Saint Pie V; et de condamner les héré- sies et les erreurs du progressisme diabolique qui régnait dans l'Église. Le Pape ne les a ja- mais condamnés pour cela. C’était une époque glorieuse pour l’Église, au milieu d’une période d’angoisse: celle d’El Palmar en union avec le Pape Paul VI, martyr du Vatican. C’est ainsi que l’Église a commencé à renaître, avec un bon Collège Épiscopal à El Palmar. Par Mandat Divin, le Siège et la Cathèdre de Rome a été transféré à El Palmar de Troya, lorsque Rome est devenue la Grande Prostituée des Dernières Temps, accomplissant ain- si la chute apocalyptique de Babylone la Grande ou la ville des sept collines. Le nouveau Saint-Siège de l'Église: El Palmar de Troya La Sainte Bible dans le livre de l'Apoca- lypse raconte: «Le dragon s'est arrêté de- vant la femme en travail voulant engloutir son fils quand elle l’aurait accouché. Elle a donné naissance à un enfant mâle qui de- vait diriger les hommes avec une main de fer. Et ce fils a été pris par Dieu à son ser- vice, et pour qu’il s'assoie sur le trône de son siège sur la Terre». Cette naissance de l’enfant mâle symbolise l'élection, par le Christ, de Saint-Grégoire le Très Grand à Santa Fe de Bogotá, en Colombie, le 6 août 1978. Cette élection papale a eu lieu à la suite du décès du Pape Saint Paul VI, le dernier avec Siège à Rome. À partir de ce Next >