< Previouscommuni- cation contre les membres des sociétés secrètes et contre tous ceux qui les favo- risent. Le vrai but de la franc-maçon- nerie ou de la maçonnerie est de détruire la Religion de Jésus-Christ, l’Église Catho- lique, afin d’établir partout la libre- pensée, ainsi que la morale indépendante, le naturalisme fami- lial et social absolu, ce que la franc-ma- çonnerie appelle la li- berté, l’égalité, la fraterni- té, et un nouvel ordre mondial. La principale arme utilisée par la franc- maçonnerie pour nuire à l'Église a été la corruption morale, de sorte que les mau- vais livres se sont multipliés, de même que les films obscènes, la télévision et d'autres médias, pour saturer les gens de libertinage et de vice. Par la fausseté, la presse per- verse corrompt l'esprit et ruine le cœur. Sous le couvert de la science, elle attaque sans cesse les ensei- gnements de l’Eglise, soit en les niant, soit en les trai- tant de ridicules. Il s’agit donc de dé- truire l’ensemble de l’édifice de la Foi Ca- tholique morceau par morceau, dans l’es- poir de parvenir à la mort du christia- nisme; de sorte que la franc-maçonnerie a perpétré: la Ruine religieuse, la perte de la Foi et de la vie sur- naturelle dans des mil- lions d'âmes; la Ruine morale, conséquence de l'irréligion crois- sante, par l'action polluante des loges, par leur sale presse, par les lois maçonniques, et par les écoles neutres. La tactique de la secte est de s’immiscer dans toutes les sociétés, de pervertir leur esprit et de les transformer en instrument de leurs projets. Comme son objectif prin- cipal est de détruire l’Église Catholique, elle s’est spécialisée dans l’infiltration as- tucieuse de la hiérarchie de l’Église pour ainsi la détruire. Le «Masterplan» pour détruire la Sainte Église a première étape de la franc-maçonnerie a été d’introduire ses propres membres dans le sein de la Sainte Église afin de la percer de l’inté- rieur. Ils ont vraiment réussi à faire ordonner des milliers de francs-ma- çons, communistes et juifs comme prêtres catholiques romains, puis à prendre en charge les paroisses, les secrétariats épiscopaux, des diocèses entiers et à atteindre l'épiscopat. Cer- tains ont même réussi à être nommés cardinaux. Une fois que l’Église Ca- tholique a été mise à mal par cette horde d’ennemis masqués, à l’inté- rieur, on a jeté les bases d’un plan absolument diabolique, incroyable- ment malin et audacieux, que les francs-maçons appelaient «le Mas- terplan». C'était un plan à long terme, qui a coûté plusieurs années de travail intense et qui a connu un succès incroyable. Il a réussi à ruiner l'Église Catholique Romaine, alors encore la Véritable Église, l'Église de Dieu. Les ennemis infiltrés ont semé une fausse piété qui a rappro- ché les catholiques et les protestants dans un faux sentiment de charité, afin d'infecter les bonnes pommes avec celles qui étaient déjà pourries. Qu'est-ce qu’ils ont accompli? La perte de la notion de péché, un monde matérialisé, sans foi, sans es- poir, sans amour pour Dieu, un monde qui tourne le dos à son Dieu et Créateur, et qui refuse de le servir. Ce plan rigoureux de destruction de l’Église du Christ était un chef- d’œuvre pour fracasser l’Église Ca- tholique depuis ses fondations jus- qu’au sommet. Beaucoup ont lancé des avertissements quant à ces conspirations, mais les bons chré- tiens n'ont pas réussi à ouvrir les yeux à temps. Il est certainement vrai qu'au cours des siècles passés, des ennemis ont infiltré l'Église et occasionné des dégâts. Cependant, grâce à la vigi- lance des Évêques saints, ces enne- mis ont été vaincus. Mais au ving- tième siècle, comme la Très Sainte Vierge Marie avait averti à La Sa- lette, «Les chefs, les guides du peuple de Dieu, ont négligé la prière et la pénitence, et le diable a obscurci leurs esprits: ils sont devenus des étoiles errantes que le diable traîne avec la queue et dont il provoque la perte.» Avec la coopération active ou pas- sive d'une hiérarchie négligente et sous les yeux d'un peuple chrétien dégénéré et in- différent, les francs-maçons qui s'étaient infiltrés dans l'Église pouvaient agir à leur guise et rester impunis. Le Concile Vatican II a été convoqué par le Pape Saint Jean XXIII face aux terribles événements annoncés dans le Secret de Fa- tima et aussi parce que le directeur du FBI Nord-Américain, J. Edgar Hoover, a averti le Pape qu’il y avait des dizaines de mil- liers d’agents communistes infiltrés dans le clergé Catholique partout dans le monde. Le Pape, déconcerté par le Message de Fa- tima, a ressenti l'inspiration du Saint-Esprit pour convoquer le Concile et il espérait ainsi exposer et combattre les maux. Bien que le Concile ait été convoqué par le Pape Saint Jean XXIII et inspiré par le Saint-Es- prit, peu après, ses objectifs positifs se sont peu à peu effondrés sous l'influence op- pressante d'une grande partie des pères conciliaires francs-maçons et progres- sistes, et aussi à cause de la lâcheté et du respect humain de beaucoup de traditiona- listes, le sain but s’est vicié en tirant des conclusions ouvertement erronées et ambi- guës; montrant ainsi que le Saint-Esprit avait été expulsé de la salle du Concile pour faire place à Satan. Voilà pourquoi le Concile Vatican II, en ce qui concerne ses progrès et ses conclu- sions, n'est pas l'œuvre du Saint-Esprit, mais celle du diable. Bien que, dans les actes conciliaires, il y ait un certain ensei- gnement sain, il y avait là-dedans un mé- lange d’hérésies et d’ambiguïtés effrayant. En camouflant le mal de cette manière, la franc-maçonnerie facilitait l'acceptation des textes conciliaires et ainsi pouvait at- teindre plus facilement ses objectifs per- vers. Le Concile Vatican II, dans ses écrits, par l'hérésie, l'ambiguïté et les objectifs pervers auxquels il était dirigé par des francs-maçons et des progressistes, est illé-gal, ruineux et abominable et a donc été déclaré un conciliabule, dépourvu de toute autorité dans l'Église. Il ne faut pas oublier que s'il y a une seule erreur doctrinale dans l'Église, alors, cette Église cesse d'être la vraie. Cela dit, nous ne ternissons nullement ni l'autorité ni la bonne foi illustre et in- faillible des Papes Saint Jean XXIII et Saint Paul VI, qui ont gouverné l'Église au moment de ce conciliabule; parce que, quant au premier Pontife, Jean XXIII, ses ennemis ont abusé de sa paternité ex- cessive, de sa gentillesse et de son opti- misme au lieu de profiter de lui pour leurs conversions; et quant au second, Paul VI, nous savons qu'il a été victime de la franc-maçonnerie du Vatican, qui l'a soumis à de fréquents lavages de cer- veau par la drogue, et qui a fait signer, par la main irréprochable du Pape, des choses qui ne devaient pas être signées, bien que, dans la majorité des cas, ils aient falsifié sa signature. Les quelques pages des documents du Vatican II qui contiennent une doctrine traditionnelle authentique sont, sans aucun doute, l'œuvre de quelques vaillants Pères Conciliaires. Le Premier Saint, Grand et Dogmatique Concile Palmarien, a décla- ré le concile vatican II nul et non avenu, et l’a supprimé de la liste des Conciles Saints de l’Eglise, car il fait partie des conciliabules. Les ennemis infiltrés ont pris la tête de tous les changements dans la liturgie et la tradition. Sous prétexte de supprimer les coutumes désuètes et de mettre à jour l'Église, ils ont cherché à la moderniser pour attirer les «frères séparés». Ils se sont efforcés de remplacer l'Église Ca- tholique par une église prétendument universelle avec toutes les églises réunies, dans lesquelles tous les juifs, les musulmans, les hindous, etc., seraient in- clus. Le premier et unique commande- ment de cette «Église Universelle» se- rait: «aimer ton prochain comme toi- même». Un Dieu de toute bonté conti- nuerait d'exister, mais un Dieu si bon qu'il ne punit pas; et comme il ne peut pas punir, tout le monde l'oubliera bientôt; puisqu’un Dieu qui ne commande pas le respect, qu’on ne craint pas, est oublié. Mais tel était l’objectif du plan. Le plan était simple: semer une fausse piété de «compréhension» envers les non-catho- liques, s’approcher des non-catholiques, ouvrir les portes de l’Église à ceux qui ne sont pas catholiques, supprimer les choses «sans importance» qui pourraient les per- turber, quitter le sentiment mystérieux de l'adoration de Dieu et du Christ, et de l’amour pour la Très Sainte Marie et de tout ce qui porte le titre de ‘Catholique’. Dans le plan maçonnique de destruction de l’Église, il fallait commencer par des choses les plus simples. C'est un plan qui a duré des années, en travaillant avec constance et, surtout, en atteignant la colla- boration des Évêques, des Prêtres et des bons catholiques. Toujours au nom de «l’amour», de la «charité». Bien que ce mot «charité» soit aussi superflu, car il est certain qu’il parle du voisin, mais il est lié à l’amour de Dieu, du Christ et à l’amour de la Vierge et des Saints. Ils ont donc pré- féré le mot «amour», car ils disent que c’est la même chose, et de plus, l’amour est plus moderne, plus intelligible pour les gens et peut rapprocher plus les uns des autres. Il faut noter la transcendance incal- culable et définitive de ce plan, tout sim- plement diabolique, qui a conduit à la dé- position du Christ et à la destruction de l’Église du Christ, car l’amour du prochain ne peut pas exister sans le fondement es- sentiel de l’amour de Dieu, comme les in- filtrés déjà reconnaissent très bien. Ils ont remplacé le mot «piété», par «compréhension», ce qui signifiait la même chose pour les autres, les frères, mais qui ne comportait pas le sens de l’union avec Dieu, avec le Christ, avec la Vierge et ainsi de suite. Ils ont dit que par- ler de «piété» donne l’impression d’exagé- ration, de béates, ou plutôt des vielles qui n’ont rien à faire, sauf aller à l’Église pour passer le temps. Les anciens recueils de cantiques Catholiques ont disparu; ils ont apporté des hymnes protestants et pro- fanes, disant que les hymnes traditionnels étaient trop «sentimentaux». Leur plan consistait tout simplement à imposer l'amour et l'adoration de l'homme et à éliminer l'amour et l'adoration de Dieu. C’est ainsi qu’ils ont raisonné: «une fois que l’amour pour Dieu a disparu, les hommes ne peuvent plus s’aimer; ils se dé-testeront plutôt». Ainsi, leur objectif consistait à modifier le premier et le plus grand Commandement de la Loi de Dieu, qui dit: «Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ton intelligence et de toute ta force». Le plan était très attractif, car tout devait être fait au nom d’une grande cause: «l’amour du prochain». Et avec ce slogan, ils ont pu facilement gagner la collaboration sincère des bons Catho- liques, des Prêtres et des Evêques, en mettant un terme à l'Amour de Dieu, à l'Amour qui est la source de tout amour. Au nom de l'amour, ils se sont occupés à semer la haine pour l'essentiel: l'amour de Dieu. Tout d'abord, le plan consistait à reti- rer les choses extérieures des gens, en di- sant qu'ils étaient «sans importance», qu'ils offensaient la sensibilité de leurs «frères séparés», les non-catholiques. Outre leurs attaques contre les habits, il y avait aussi un plan pour que les gens laissent de côté leurs médailles, leurs scapulaires, leurs chapelets, etc. Le plan considérait que tout cela était «très important», puisque ces choses qui semblaient n'avoir aucune importance étaient celles qui respiraient amour pour Dieu, pour le Christ et pour la Vierge .., pour ceux qui devaient être détrônés de la société. Quant au scapulaire et à la mé- daille, c'était facile, les infiltrés disaient: il faut insister; ces choses sont des choses de béats, des choses extérieures, des choses «sans importance», mais qui offensent les idées des «frères» protes- tants. Par conséquent, il vaudrait mieux les laisser de côté, ne pas les utiliser, et il serait donc plus facile pour les protestants d'approcher l'Église. Plus de trente Papes ont recommandé le scapulaire du Mont Carmel, l'ont utilisé, l'ont propagé avec les plus belles paroles que le vocabulaire humain permet. Des centaines de milliers de Prêtres et d'Evêques l'ont vivement recommandé pendant sept siècles et des millions de Ca- tholiques l'ont utilisé. Et soudain, personne n'en parle; quelqu'un va dans une église chercher un scapulaire et il n'y en a pas, et ils ne prennent pas la peine de les fabri- quer. Comme par magie, il n'y a pas de sca- pulaires, comme s'ils étaient inutiles, comme s'ils étaient choses de béats. Les in- filtrés semblent vraiment avoir eu du suc- cès avec le scapulaire. Et pourtant, le sca- pulaire reste l’arme simple de Notre Mère, un exemple de la tendresse affectueuse de la Vierge envers ses enfants. Jeter les habits et les soutanes! Que les Prêtres et les Religieuses laissent de côté leurs habits etc. Toutes ces choses exté- rieures «sans importance» témoignaient de vies passées constamment près de Dieu, du Christ, de la Vierge… et ils étaient les pre- miers qu’il fallait enlever, car ces habits té- moignaient des vies consacrées à Dieu. L'habit de chaque religieuse dans la rue était un cri d'une vie abandonnée pour l'amour de Dieu, un cri silencieux, mais constant, que Dieu et son Église existent dans notre siècle, un cri des centaines de milliers de personnes prêtes à sacrifier leur vie pour l’amour du Christ. La franc-ma- çonnerie avait bien planifié et était fière de n'avoir rien utilisé de moins que le Concile Vatican II pour mener à bien cette tâche. Le plan allait commencer par dire que les ha- bits sont désuets; et en second lieu, ré- pandre l'idée que les Prêtres et les Reli- gieuses, habillés en laïques, pouvaient se frayer un chemin dans des milieux où l'ha- bit serait une barrière qui séparait les «frères» protestants des catholiques. Il ne peut y avoir aucun doute sur leur grand succès, parce qu’on ne voit plus de Reli- gieuse ni de Prêtre nulle part dans les rues. C'était la première partie du plan; la der- nière partie consistait à les faire cesser d’exister véritablement, à faire oublier la figure du Prêtre ou de la Religieuse; et ne les voyant pas, les jeunes seraient igno- rants de leur existence et ainsi personne ne penserait à devenir Prêtre ou Religieuse. La figure de l'homme qui sacrifie toute sa vie pour le Christ cesserait d'exister. Il est intéressant de voir quel genre de personnes a été utilisé dans ce plan, parce que sans doute c'est de l’audace la plus subtile: il a utilisé de bons Catholiques, Prêtres, Religieuses, Evêques ... pour dé- truire la prêtrise ... mais nous examine- rons cela dans le détail plus tard. Le plan était également de retirer les Religieuses de leur cloître. Insinuer que leurs «frères» dans la rue en avaient be- soin, qu’une Carmélite peut faire beau- coup de bien en soignant les malades et en dirigeant les écoles, etc. Le plan semble vraiment stupéfiant, captivant les plus intelligents. Qui pourrait rester in- différent à un appel urgent à l'amour du prochain, pour assister à ceux qui souffrent, qui pleurent, qui sont dans le besoin, si le Christ lui-même souffre et pleure quand notre «frère» souffre et pleure? En cela, ils ont eu beaucoup de succès. De nombreux cloîtres ont cessé d'être des cloîtres. Ces bastions d'amour pour Dieu ont cessé d'exister. La franc-maçonnerie a voulu les détruire complètement, car elle sait très bien qu'ils étaient des four- neaux ardents d'amour pour Dieu et pour sa Très Sainte Mère! Parce qu'elle sait très bien que ces âmes enterrées vivantes pour le Christ étaient le feu qui alimen- tait la chrétienté. Dans les rues, ces forte- resses imprenables ont disparu; en s'ha- billant comme des laïques, elles se sont rendu compte qu'elles pouvaient «aimer» mieux leurs «frères» en n'étant pas des Religieuses. Le plan a conduit à placer l’homme sur le piédestal de Dieu et à faire croire que l’homme est un dieu; si Dieu n’existe pas, il n’est pas nécessaire de l’adorer, il n’est pas nécessaire de sa- crifier toute sa vie pour Dieu, mais pour l’homme, qui est le nouveau dieu. Les couvents cloitrés étaient des châ- teaux d'amour invincibles pour Dieu, et leur destruction était essentielle pour im- planter le premier commandement comme «amour» pour le prochain, ou- bliant l'amour pour Dieu. Chaque Prêtre ou Religieuse avec sa soutane ou son ha- bit, en se promenant dans la ville, était un cri d'amour pour Dieu et pour le pro- chain, mieux que mille discours ou mille «œuvres» de charité; ils vivaient un té- moignage d'amour pour le Christ qui Next >